L’amour en prépa : comment Sacha a jonglé entre travail et relation pour réussir

______J’ai fait prépa MPSI puis PSI* à Marcelin Berthelot et je me suis mis en couple en novembre de ma deuxième année avec une élève de prépa BCPST de ma prépa. J’ai intégré Centrale Lyon.


______Je n’ai pas tellement hésité à me mettre en couple car je me faisais confiance dans ma capacité à gérer mon temps libre, même si j’avais quelques appréhensions, notamment sur les risques potentiels comme une rupture juste avant les concours, qui aurait pu affecter mon moral. Cependant, il y a aussi plein de bons côtés, notamment un boost moral et le fait d’avoir quelqu’un avec qui partager les difficultés de la prépa, puisqu’elle était aussi en prépa.


______J’estime que ma copine m’a beaucoup aidé et a contribué à mon intégration à Centrale Lyon. Nous avons toujours réussi à rester sérieux et à garder le rythme de la prépa tout en nous motivant mutuellement. Nous avons beaucoup travaillé ensemble, même en étant simplement côte à côte, puisque nous n’étions pas dans la même filière. Nous nous sommes énormément motivés l’un l’autre en cas de coup de mou. Ce qui était plus difficile, c’était le peu de temps libre pour se voir en dehors des cours. Nous nous réservions toujours un moment dans le week-end pour nous retrouver, mais cela restait peu de temps.


______Une des clés majeures qui a fait que notre relation a bien fonctionné est le fait de ne pas comparer nos ressentis. C’est-à-dire que nous n’avons jamais dit que la charge de travail ou la fatigue de l’autre était moins grande que la nôtre, ou inversement.


______En conclusion, je pense qu’il ne faut pas bloquer toute relation sous prétexte de la charge de travail en prépa, mais si l’on se met en couple, il est très important de se fixer des heures de travail, tout en réservant des moments de temps libre pour la relation. Le moral est peut-être la clé pour bien réussir en prépa, et être à deux peut permettre de rester positif et de garder confiance en soi !